vendredi, décembre 08, 2006

3 eme édition des salaires!

Ce n'est plus secret défense: il y a tout plein d'argent qui nous arrivent pour payer les salaires, en sac (roses transparents) et que l'on doit compter pour être sur qu'il ne manque pas de liasse.
En fait on fait changer nos dollars ou chèques par un "Monsieur Money" qui nous fait un change potable. Puis on vérifie que tout est bien là. et enfin, on sors nos 131 fiches de salaires et on commence à compter. Bouaphan (en photo), qui est responsable du département compta, m'aide en général. Là il est parti en vacances juste après avoir déposé l'argent et pris son salaire!!!
C'est donc Bouaphet, une nouvelle très gentille, qui s'est tappé le compte des salaires. Chaqu'une a fait la moitié des 131 fiches puis on recompte ce qu'a fait l'autre histoire d'être sure. Environ 5h de travail a deux pour tout boucler. (bon en même temps c'est mon seul vrai coup de bbourre pendant tout le mois). Et après on demande aux employés de venir (cette fois-ci 2 par 2) pour prendre, compter et signer leur salaire.... Tout s'est bien passé cette fois-ci. Toujours quelques oublis, des manip informatique qui ont décalé les cases excel dans certaines fiches, mais dans l'ensemble pas de gros problème! On va y arriver!
Donc tout le monde signe son salaire et les jours suivants sont consacrés à la résolution des problèmes de chacun: horaires non comptabilisés car l'employé n'avait pas sa carte de pointage, vacances demandées mais non prises (ou l'inverse!), jours de vacances pris alors qu'ils n'ont plus de crédit de vacances.... Bref... les erreurs humaines sont présentes dans chacune des étapes!!! Posted by Picasa

3 commentaires:

Anonyme a dit…

C'est bon j'ai enfin compris ce que vous faites la bas...

Anonyme a dit…

Tiens on se dirait au Zimbabwe ou au Mozambique. Une brouette de billets pour aller se payer un bière....
Même qu'au Zim il en fallait tellement que maintenant y'a plus de monnaie du tout... à 800.000 dollarszim la livre de pain il ont préféré arrêter la mascarade.

Anonyme a dit…

on se croirais au bon vieux temps des lires italiennes deux brouettes pour un "gelato", te dis pas pour le kg de viande. Allez je m'y attèle ces jours-ci entre la structure d'accueil et le boulot, je commence à haïr les salaires, sauf quand il tombe sur mon compte.
Bisous.
Tata Odette